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Partenariat transpacifique (PTP)

Au départ, le Partenariat transpacifique (PTP) était un vaste accord commercial multilatéral négocié par douze pays riverains de l’océan pacifique. Ces pays comprenaient : L’Australie, le Brunei, le Canada, le Chili, le Japon, la Malaisie, le Mexique, la Nouvelle-Zélande, le Pérou, Singapour, le Vietnam et les États-Unis. Les négociations du PTP ont pris fin dans les derniers jours du mandat de l’ancien premier ministre Stephen Harper. Le gouvernement Trudeau a par la suite adhéré au PTP en 2016.

Cet accord était très controversé. Aux États-Unis, les candidats à la présidence s’y sont opposés et l’économiste Joseph Stiglitz, récipiendaire d’un prix Nobel, l’a même qualifié « du pire accord commercial jamais conclu ». Après avoir été élu à la présidence des É.-U., Donald Trump a promulgué un décret présidentiel retirant les É.-U. de l’accord en 2017.

Toutefois, les autres pays ont poursuivi les négociations. Au Canada, dans un exercice visant à rendre l’accord de Harper plus attrayant pour les Canadiens, on le rebaptisa, Accord de Partenariat transpacifique global et progressiste (PTPGP). Ce nouveau nom est un des seuls aspects à avoir changé. En effet, pour l’essentiel, le PTP et le PTPGP sont identiques.

Voici une comparaison entre l’ancien Partenariat transpacifique (PTP) et le nouvel Accord de Partenariat transpacifique global et progressiste (PTPGP) »